• Bienvenue sur le continent de Midgard et ses cinq grandes nations. Les deux nations mères : Aosí, la nation qui règne en maître sur toutes les autres, dirigée par un Chancelier, pro-technologie, puis Boreas, son ennemie numéro 1 qui lui est en tout point antithétique et prône la magie dans son absolu. Les trois nations inférieures : Nordri, qui prend - soumise - parti pour Aosí, dirigée par un conseil de Järls, Austri, neutre et sous le joug d'une famille Impériale proche de son peuple... SUITE?
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que tout ceux qui aime le pouley fassent la vibe par Zavialov.
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Anonymous
Sam 2 Avr - 17:41

wsh si t'es courageux tu passeras sous le lapin qui danse comme une grosse chagasse parce que c'est du lourd, du très lourd que j'vais vous poster la dessous. j'suis la putain de puissance et tu peux tellement pas me test, genre badaboom pregnant tellement j'suis so perf. je sais que là tu dis qu'ya pas de rabbit et que tu me prends pour une conne, mais balack wsh, j'tenvoie du love sur toi Invité et petite claque sur le uc. la bise, keurkeur.

Nög Mattsen Zavialov
dctb, présente Hana Random - DevianArt

Vos papiers, siyouplé
Nom : Zavialov ( Mattsen )
Prénom : Nög.
Surnom : KFC.
Âge : 23yo.
Orientation sexuelle : Taggle.
Nation : Sudri.
Profession : Conseil de Sudri #swag
Bénédiction & Don : Alis, valide Rotting Flesh.
Explication : Le noir est vraiment une couleur fascinante. Une absence de couleur fascinante. C'est souvent ce que je me dis quand je pose mes mains autour de sa gorge, quand doucement son cœur ralentit pour finalement s'éteindre. Comme le murmure silencieux d'un ultime cri de détresse ses yeux se plongent dans les miens, je lui sourie. Sa peau se tâche alors de noir, elle s'assèche, se meurt. La mort devient son seul refuge, une  sorte de paix inévitable.  J'aime à me dire que j'appartiens à cette petite mais non négligeable famille de pouvoir gangrène. Je vous dévore. Je vous tue. Je fais de vous un tas de cendre monstrueux, futile, volage. Tapez moi dans l’œil est de mon épais nuage de fumée opaque, charbon, impitoyable. L'épais nuage de fumée qui vous glace le sang, les tripes, le cœur. Je deviens ce fléau putréfiant, laid. Matérialisation pure et dure de la peur, de la mort, c'est une forme nouvelle, une douce souffrance pour mon plaisir, unique. Ce passager dans mon corps, ce passager admirable qui me protège, qui m'aime, qui me choisit. Tantôt par un regard, tantôt par un contact ou simplement par la force d'un vent froid. On se supporte mutuellement parce que lutter serait une perte de temps, on ne peut se débarrasser ni même mourir de ce qui nous définit, je ne peux me débarrasser et mourir de par sa faute. Pourtant, c'est une boucle sans fin, un serpent qui ne cesse de se morde perpétuellement la queue; toutes les douleurs infligées deviennent miennes, s'emparent de moi, me déchirent autant qu'elles ne déchirent. Appelons ça, un mal pour un bien. Vu comme ça, tout semble vraiment parfait, du moins, quand on le bourreau plutôt que la victime et, pourtant. Bien que puissant, bien qu’époustouflant, bien qu'intéressant, dangereux, il n'est dans le fond que très peu puissant, le comble de l'histoire me direz-vous, c'est de posséder un don pareil et de ne pouvoir l'employer qu'une demi-heure, de voir que tout le monde ne peut pas être contaminer, que certaines personnes se voient miraculeusement immunisées, protégées, soit parce qu'elles sont en possession d'un don de guérison, d'annulation ou de je ne sais quelle défaillance immunitaire. Ne me jugez pas trop sévèrement, je jubile, certes, mais je n'ai que ça, que lui. Pouvoir destructeur des chaires des autres et pourtant tendre avec les miennes, il porte à mon être une jeunesse d'adolescente. Visage enfantin, dix-neuf ans , tout au plus. Douce agonie qui se répand comme un fléau à la couleur sombre, formant parfois un bouclier de fumée pour empêcher le monde extérieur et ses attaques de venir me frapper de plein fouet. Morceau d'une santé de fer, qui comme un ange gardien ne laisse jamais le surnaturel m'emporter, guérissant la mort, les blessures ou infections, toutes ces causes du à la magie d'autrui. Sombre nuage de fumée noir, aussi mon corps peut-il prendre l'aspect d'un léger nuage, comme une traînée de poudre qui se disperse, chose étrange que je n'utilise que peu tant perdre un morceau de mon être me semblerait dommage. Seul le temps, la nature, l'ordre chronologique d'une vie bien remplit peut emporter avec elle la peine que je porte sur mes épaules. Ce don, mon abomination me force à vivre et à guérir, comme un cadeau empoisonné, comme une punition je dois subir de ne mourir que par la vieillesse.  Il est un peu plus qu'un pouvoir, un don ou une abomination, c'est un ami qui me tient compagnie tard le soir quand personne d'autre ne peut le faire, c'est une voix rassurante qui me conseille dans mes choix, c'est une main reposante qui parfois épanche mes douleurs, mes malheurs, mes erreurs, mais c'est aussi mon plus grand ennemi. Mon plus grand adversaire, mon plus grand cauchemar, c'est mon tombeau, avant la mort, avant la fin, avant la vie.

Outside, Inside.
dominatrice, pute, vicieuse, directe, vaniteuse, vindicative, paresseuse, poulet, excessive, érudit, belle, indomptable, complexe, ponctuelle, riche, sauvage, fade

que tout ceux qui aime le pouley fassent la vibe par Zavialov. Lapin-10

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Inside. Son nom résonne dans la tête de beaucoup de monde, on a du mal à comprendre pourquoi tant elle est insupportable, tant elle est instable. C'est complètement stupide de vouloir s'approcher d'elle par envie, on le fait principalement par besoin. Trop exigeante avec les autres et sans aucun doute pas assez avec elle même, elle devient lentement la bête noire de ses semblables et s'enfonce dans l'auto-destruction pour le plaisir. Peu de choses lui tienne à cœur. Elle n'a pas pour leitmotiv l'amour trouvant sa futile, sa famille trouvant ça éphémère ou encore ses amis trouvant ça hypocrite, non rien de tout ça, Elle préfère faire son petit bout de chemin seule, les mains dans les poches et la clope en bec.

Nög, cette meuf c'est d'abord une bonne dose de franchise, cracheuse de vérités acerbes qui n'en finissent jamais, quand certains vous diront qu'elle est mauvaise langue, langue de pute, d'autres à l'inverse seront les premiers à vous dire que c'est une nana vrai, qui n'a pas peur de dire les mots. Impitoyable, tranchante, dure à la limite du méchant, elle reste une sorte de bavarde intarissable qui ne peut pas s'empêcher d'ouvrir sa gueule, intolérante face à la critique, elle aime prodiguer des conseils que jamais elle ne s'appliquera, dans le fond on peut se dire que c'est une chouette meuf, une chouette meuf qui prend un peu le melon et qui se fait sans doute un peu trop confiance. Alors, pourquoi est-ce que sa part en vrille?

Dans le fond, tout se casse la gueule parce que ce qu'elle dit, ce qu'elle pense, ce qu'elle fait, c'est pas joli, c'est un peu sale, dégoûtant, c'est moche. C'est une sale conne imbue d'elle même, égoïste, colérique, malsaine, égocentrique. Elle veut mener une vie compliquée, parce que s'ennuyer c'est trop facile, alors elle tombe dans l'excès, elle se détruit à petit feu, quand elle sentira qu'elle perdra votre attention elle sera attachante, délicate et la seconde d'après elle vous humiliera en vous crachant gracieusement au visage. Impossible de la suivre, elle va trop vite, elle est trop loin, sa vie c'est le bordel, un joyeux bordel organisé, divergente qui se fond dans une masse de gens plus stupides les uns que les autres. Elle veut vivre à cent à l'heure sans prendre le temps de profiter, elle veut tout sans rien faire. Ton bonheur elle s'en branle, il n'y a qu'elle, elle et encore elle à tout jamais, il n'y a toujours eu qu'elle et encore elle. Si elle peut te faire mal, te rendre triste, tellement triste, elle le fera, oui, jusqu'à ce que tu n'en puisses plus, toujours en gardant aux lèvres ce sale sourire de connasse qui la définit si bien.

Et pourtant alors que tu penses que c'est une salope sans cœur, une ordure, que tu la fixes en souhaitant que sa vie entière s'effondre, que tu vois le sourire tordu sur son visage de monstre.. là, tout au fond, demande toi si elle ne chiale pas un petit peu, si dans le fond, elle n'est pas malheureuse, un peu. Demande toi, si quand elle commence à aimer, quand elle commence à sentir une petite brèche dans son cœur, qu'elle sent que la garde qu'elle a mis tant de temps à construire est entrain de se casser la gueule, demande toi s'il n'est pas plus simple pour elle de fuir comme une lâche et de disparaître à jamais. Nög est lâche, oui c'est un tas de merde sur patte qui préfère fuir plutôt que d'assumer pleinement ce qu'elle ressent, elle craint trop la déception mais adore la distribuer à qui voudra passer du temps avec elle. En fait, dans le fond, quand on est gamin on a peur des monstres sous le lit ou encore de ceux qui se cachent dans les placards, on a peur parce qu'on les cherche mais un jour, un jour on arrêtera de les chercher, parce qu'un jour, un jour on aura compris qu'ils ne se cachent pas sous nos lits, mais qu'ils sont tout simplement, à l'intérieur de nous.


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Outside. Quand on sait que l'intérieur est pourrit, on part du principe que le physique ne va pas être bien beau, et pourtant, il suffit de regarder Nög pour se rendre compte que cette théorie n'est pas totalement vrai, parce que Nög c'est un mètre soixante treize de jambes infiniment longues, d'une taille finement sculptée uniquement dans le but de vous rendre fou, d'une peau d'opaline surmontée de quelques tâches de rousseurs par ci par là, d'une chevelure onctueuse et soyeuse à la couleur clair qui retombe en masse sur ses épaules, Nög c'est aussi un style bien propre, le genre dandy-princess, masculine-chic qui n'aime pas les pouffiasses salon de l'agriculture maquillées à la moissonneuse batteuse.

Nög c'est une fois encore une bonne dose d'égoïsme, je-m'en-foutiste, nonchalante, cynique à l'état brut. Elle n'a pour force que l'oseille de ses parents, c'est une fashion victime dramaqueen qui tuera quiconque osera toucher ses fringues, sans être une pimbêche mal lunée, elle ne s'autorise jamais, au grand jamais une erreur d’association, partant du principe que tu es comme tu te présentes. En somme, la panoplie de la parfaite petite conne trône au dessus de sa belle gueule. Et belle gueule c'est encore faible. Mélange atypique d'un américain et d'une suédoise, elle a ce petit accent grave qui renverse les cœurs et cette voix légèrement rocailleuse qui ne colle pas à son physique de salope-pimbêche. Elle pose ce regard froid de dédain, de dégoût qui surplombe avec un aplomb désarment le reste du monde. Elle a cette allure vaniteuse, bavant avec un certain charisme l'espace vital de ses semblables, elle pue la vantardise à des kilomètres, elle inonde le monde avec sa supériorité. Mais c'est pour ça qu'on l'aime.

Nög c'est aussi des prunelles d'un bleu azur alarmant, des mimiques insupportables, insupportables parce qu'elle louche, boude, mordille et gonfle toutes les parties possibles de son visage. Elle n'a pas de mal à faire l'imbécile, ça l'amuse, partant du principe qu'être intelligent permet toujours de faire l'idiot alors que l'inverse est totalement impossible. Impossible, mot factice qui ne fait pas partie de son vocabulaire, mot sale qu'elle crache, vomit et foule aux pieds comme un tas de cendre poussé par le vent. On ne sait pas comment aborder ce genre de personne, ce genre de monstre, on sait seulement qu'on préfère ne pas le regarder dans les yeux, baiser la tête et fermer sa gueule.

Si tu la regardes bien tu ne remarques rien, elle a l'air un peu malade tu trouves pas? Forcément, comment une personne aussi noire ne finit-elle pas par se saccager, se ravager comme le gâchis intégral d'un talent divin. Toute personne profondément noire, profondément sale finit un jour par voir ses traits devenir aussi sombres que le reste de sa personnalité, mais elle s'en moque, Nög.

Nög c'est une sale conne. Terriblement belle de l'extérieur mais qui tente  de se rendre laide, elle veut assortir le physique et le mental, elle veut faire en sorte de suivre sa ligne de mire de ne pas déroger de ce qu'elle est ou du moins de ce qu'elle croit être vraiment, de son but ultime; rester une belle connasse.

Elle possède cette démarche nonchalante à la limite du classieux frauduleux, le genre claque dans la gueule à chaque bouffée d'air infime qu'elle prend, en brûlant la vie des deux bouts, elle créait un style clope, jean trop petit et veste de dandy princesse, pour le plus grand plaisir des yeux, mais sans doute pas celui de l'esprit. Elle ne promet pas que son passage dans votre vie sera tranquille, non, car la vie n'est pas un long fleuve tranquille, mais cependant, comme la peste, le choléra, elle s'incrustera dans votre vie et bon courage pour l'en déloger.


Storytime


Elle est née à Sudri et y vit depuis tjrs, sédentaire la meuf, voir énorme feignasse qui sait qu'on est toujours bien chez soi.

Apprend à ses 17 ans qu'elle est la fille de Freyr Mattsen et d'une catin qui passait par là, elle se voit promu comme demi soeur de la Reine von Mattsen. Okalm la meuf.

Peut pas blairer pour autant sa patrie, les gens et tous les autres trucs parce qu'elle n'aime qu'elle et cela prend beaucoup de temps.

Construit son premier bordel à ses 18 ans dans le calme et décide de fire le buzz.

C'est imposé dans le monde cruel et financier de son petit bourg dans le calme et par un miracle qu'on attendait pas, est devenue membre du conseil. Elle était déjà ultra prétentieuse, depuis son égaux petta tout les scores.

Aspire à faire le mal juste par pure jubilation et profite de ce statut et du grade qu'on lui a offert à des fins plus ou moins douteuses.

Compte développer ses lieux de débauches un peu partout, histoire de faire le buzz et de peser dans le game.

Voue une admiration sans nom à sa soeur qui même si elle pète des plombs en impose de fou, elle essaie parfois de la raisonner ( quand même wsh ) même si tout le monde sait qu'elle est totalement névrosée, voir hystérique.

N'envie en rien le statut de pouvoir de son aînée, trouvant que cela implique des responsabilités inutiles, elle préfère jouer la petite voix sur son épaule qui la conseille dans ses choix, bons ou mauvais.
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On nous a un peu niqué sur l'emballage en négligeant quelque peu le contenu. Ils nous ont vendu ça en nous disant que tout serait sympa sans pour autant nous dire que rien ne serait simple. Nous nous sommes fait baiser dans le sens le plus large du terme, on a rien vu venir, on s'est fait enfiler comme des malpropres. Raconter avec des mots simples des choses complexes n'est pas tâche facile.

Rien ne sert de trop écrire pour cette histoire, il serait sans doute impossible de le faire de toute manière. Je vais vous raconter au fil de mon aventure naissante le commencement d'une déchéance formatrice. D'un avenir incertain et jonché d'une pointe d'égoïsme. Je pourrais vous parler de ce frère qui me manque, de ce père qui jamais ne pourra pardonner et d'une mère totalement désemparée. Je pourrais vous dire, décrire et parler à ne plus savoir qu'en faire de ces bâtiments où règne en maître le pêché et la luxure, vous inviter à entrer sans une once de pudeur. Je pourrais vous parler d'amour, d'amour comme plus aucun d'entre nous ne pourra s'imaginer connaître. Je pourrais vous parler de cette vie que beaucoup m'envie et que pourtant je maudis. Il faudrait plus que quelques lignes pour décrire et narrer entièrement le fil d'une vie et tout ce qui s'y rapporte de près ou de loin. Il faudrait l'éternité, l'éternité et encore. Je sais ce que je devrais vous raconter, je devrais vous parler de cette réussite semi partielle, je pourrais vous parler de la jouissance d'être la toute puissance dans un monde étriqué ou la soumission devient lentement ce maître mot inavoué.

Il faudrait surtout que je vous narre avec une subtilité et une minutie déconcertante les épisodes les plus sombres de ma vie, c'est souvent ce qu'on fait dans ces cas là, c'est donc ce que je ferai. Je l'appelais Clov. Il s'appelait Clov. C'était un jeune homme à la peau d’opaline et au corps finement sculpté, il avait dans le regard cette couleur claire qui était semblable à la mienne. Il met impossible de me souvenir du son de sa voix, de son odeur. Il m'arrive souvent aussi d'oublier les traits de son visage.  La forme de son sourire me revient parfois en mémoire comme pour me rappeler qu'il était de ceux qui savaient être heureux. Clov, lui, il avait dans le cœur, il avait dans le corps cette douceur que je n'ai pas, que je n'ai plus. Il était la partie de moi la plus jolie, la plus belle, la plus pure. Ses mots étaient un antidote redoutable contre mes peines et mon chagrin. C'était un ami, c'était une oreille attentive, un protecteur, c'était un frère. Quand je repense à lui, j'ai ce sentiment oppressant de honte qui me saute au visage, il explose et se propage dans toutes les parcelles de mon âme, il me met face à mon dégoût de moi même, il me met face à ma vraie Nature. Pourquoi tant de nostalgie, de peine, de chagrin et surtout de honte? Ô.. Je vais vous le dire, ne vous inquiétez pas, cela semble inévitable, cela semble nécessaire. Vous attendez de moi que je me déshabille, nue, que je vous étale sans gêne et sans pudeur ce que je suis. Plus facile à dire qu'à faire, mais réalisable tout de même. Clov est partie, il s'en est allé parce que je l'ai fait disparaître. Bénie par Alis, je n'avais que peu d'amis, que peu de famille et même si les membres de cette dernière étaient nombreux, la peur les empêchés d'apprendre à m'aimer. La peur, ils la connaissaient tous, dans avec dans le tourbillon infernale de la nuit, tous sauf peut-être Clov. Plus âgé que moi, plus jeune que les autres, il me connaissait. Don unique de réparer les corps, les chaires il était mon opposé, yin et yang dans une seule et même fratrie. Je marque une pose, courte pose parce que je sens que ma gorge se serre, que mon cœur se crispe dans le fond de ma poitrine. Souvenirs douloureux qui pointe petit à petit le bout de son nez comme pour me rappeler que jamais rien ne reste enfouie bien longtemps.

Sa main était dans la mienne, il me suppliait de ne pas lâcher. La panique me rendait molle, membres moites, je crie à travers les chutes d'eaux. Il voulait juste impressionner la galerie, il voulait juste m'apprendre m'amuser. Il s'accroche comme il peut à la mousse du précipice, Je le tire, je le tire encore. Rien n'y fait. Nos regards se croisent, ils se parlent dans le bruit répétitif des rafales humides. Trop de panique et si peu de maîtrise, lentement la chair de sa main se noircit, je secoue la tête, perdue. Non.. Il me regarde affolé, arrête, a-t-il d'abord dit, arrête, a-t-il ensuite hurlé. Mais je ne pouvais pas arrêter, je n'y arrivais pas. Plus il criait, plus tout devenait incontrôlable, mon don, cette abomination remplit de noirceur et de malchance, Rotting Flesh prenait peu à peu le contrôle total de mon être. Lentement ma gangrène se répand sur lui, brûlant comme un feu de forêt la couleur claire de sa peau, il hurle de douleur, tente de se guérir, tente se sauver. Impossible mais vrai, je le dominais malgré moi, on dit souvent que l'élève dépasse le maître, mais cela est fort regrettable quand celui ci, tente de sauver l'autre. Ses yeux me fixent, si je le lâche il tombe, si je le tiens il meurt. Regarde moi, regarde moi, je le fixe apeurée comme un animal perdu, c'pas de ta faute. Ses mots glissent moi tandis que le mal se glisse sur sa peau encore et encore. Des larmes épaisses se hissent sur son visage, le mouvement de ses traits indiquent qu'il souffre le martyr. Les cris douleurs s'estompent peu à peu, son corps se décharne. Je ne parle pas, je pleure, tout ce passe si vite, trop vite. La surface de ce qu'il était s'évapore alors dans un dernier soupire de douleur, vite, si vite, je murmure dans le silence des vagues, j'implore le pardon, je maudis ceux qui m'a été donné. Je m'effondre.

Je suis longtemps restée, , après. Je suis restée allongée comme un fantôme la tête dans l'herbe mouillée. L'image de son corps qui s'envole en cendre dans le creux de main me détruit, m'achève. Les larmes coulent sur mon visage, ravage les traits doux de ce dernier. Les heures passent, stoïque dans le terme le plus brut de son expression je reste ici parce que partir c'est admettre que c'est fini. Combien de temps suis-je restée ici, combien de jours sont-ils passés sans que je ne vois aucun autres visages qui pouvait m'être familier. Deux peut-être trois, le temps se confond de toute façon. Je pourrais vous décrire le soulagement suivit d'une profonde horreur que j'ai vu dans les yeux de mes parents ce jour là, ce jour où ils m'ont retrouvé dans la même position, celle que je n'arrivais plus à quitter,  je pourrais vous décrire la manière avec laquelle ils m'ont dévisagé. Ils avaient dans les prunelles cette couleur de haine. Jamais ils ne l'avoueront mais dans le fond ils auraient préféré que ce soit moi qui ne soit plus ici. Je vous avoue, que je les comprends, je les comprends parce que c'est ce que moi j'aurais voulu. Je pourrais vous dire combien la vie m'a semblé vide les semaines, les mois et les années qui ont suivi. Mais j'imagine que vous le savez déjà.

Comme un avion sans ailes, je me suis laissée griser. Il y'a ceux qui vivent avec des regrets et ceux qui vivent avec des peurs. Je suis de ceux qui ne vivent que de tristesses. Je ne vois maintenant les membres de ma famille que pour les grandes occasions refusant de faire partie d'un groupe de gens qui ne m'aiment pas, qui me craignent. Mes géniteurs ont refait un enfant, un petit garçon. Triste ironie. Dire que jamais il n'arrivera à la cheville du premier. Je me suis laissée dévorer par la rage, la haine, la tristesse, le désespoir, la colère, la vengeance et la délation. Il avait dit que ce n'était pas ma faute, pourtant personne n'y croyait sauf peut-être lui, mon Clov. Les choses changent, souvent. Les dirigeants du monde vont et viennent. Les régimes politique aussi, évoluent. Je hais toutes ces choses qui m'entourent. Je déteste ce monde ou tout s'oppose. Et pourtant, sans gènes je m'y suis incruster sans pour autant en vouloir.

Les plus grands monstres ne naissent pas tous comme ça du jour au lendemain, il y a selon moins plusieurs événements, actes et conséquences qui définissent ce que chacun devient. Ce que nous vivons, d'abord, ceux que nous voyons ensuite, et ceux que nous côtoyons ensuite. Je vous le dis, prenez le comme vous voulez. Mais à force de vivre dans la haine, le rejet, le regret et la honte, à force de vivre avec des monstres ont fini par en devenir un.

Je pourrais continuer de vous parler de toutes ces choses de la vie, de ma vie qui n'ont pas été utiles. Je pourrais faire une débat, une conférence ou même une pièce de théâtre que cela ne changerait en rien ce qui s'est passé. Je pourrais faire tant de choses, mais là, je n'ai plus envie, plus envie de continuer à jouer, plus envie de continuer à faire semblant, vous connaissez mon plus noir secret, vous apprendrez au fil de mon passage ici le reste, en temps et en heure, car maintenant j'en suis sûr, tout vient à point à qui sait attendre.


Avez-vous réellement cru que l'histoire s'arrêtait là? Fragiles. Je voudrais vous narrer le passage, le passage le plus important sans doute de l'histoire de ma petite et pauvre personne, pouce ça, il faudrait parler de lui et d'elle aussi un peu. Il s'appelait Freyr, c'était un homme respecté qui dans le fond aurait rêvé de plus encore. Elle, je n'ai jamais connu son nom et cela n'a vraiment aucune importance. Une rencontre qui n'aurait en apparence jamais n'aurait du avoir de conséquences, qui jamais dû être mise à nue. Désagrément sans précédent qui neuf mois plus tard pointa le bout de son nez comme un ouragan. Sacré bazar qu'un enfant dans une liaison qui jamais n'aurait du voir le jour. On ne pense que peu souvent aux dommages collatéraux et encore moins de ce qu'ils deviennent. J'étais un de ces dommages collatéraux.

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Mes doigts glissent comme un plume dans les affaires de son bureau, Clov était organisé, soigneux. J'esquisse un sourire doux en prenant dans le creux de ma paume les fragments de roche qu'il collectionnait avec soin et minutie. Je secoue la tête, dépassé. Le poids du papier glisse et finit par s'écraser sur le sol, penchant la tête sur le côté je saisie l'étrange présent qui comme un trésor caché tombe entre les mains les moins honnêtes que Sudri est connu. Je regrette d'être tombée sur ceci, je regrette car dans le fond, c'est maintenant, la mort d'un inconnu et non d'un frère qui sur ma conscience pèse à jamais. Enveloppe salie par le passage du temps, ouverte. Air d'intrigue sur le visage, j'ouvre comme une voleuse ce document qui jamais n'aurait du sortir de son cachette, mes yeux glissent sur le papier comme une brise fine pour finalement se heurter à une vérité, à un choc. Prenant le temps de remplier le dit butin, le dit précieux, je le glisse dans ma poche.

Carton dans les mains je m'avance sous les yeux de mes parents. Entourés de la boule de poils de la bâtisse, ils me jettent un rapide coup d’œil,tu as tout ce que tu voulais, demanda la patriarche pipe au bec. J'esquisse un sourire, bien plus que tu l'imagines. Lâchant le carton sur le sol je sors de ma poche le volage morceau de papier soigneusement plié. Jamais une femme n'eu le teint plus blanc que ma mère à cet instant, bond furtif de mon père qui de toute sa hauteur tente de s'approcher. Ce n'est pas ce que tu crois.., ses mots me tombent dessus, je lève un doigt en guise de réponse, il se tait. Il se semble se pétrifier quand mes yeux s'assombrissent. Zwald Zavialov chouine alors, demandant pardon, s'excusant au pied de sa femme de ne pas avoir brûlé ce maudit tas de feuille, elle secoue la tête, elle t'a laissé devant la porte un soir, je n'ai pas eu le temps de voir son visage, mais.. Nög, s'il te plait.. Mes poings se serrent, mes ongles s'enfoncent dans la chaire de mes paumes, mordent et déchirent jusqu'au sang.

Je n'avais jamais compris l'aversion et la distance de mes parents, j'ai toujours pensé que je n'étais pas assez bien pour eux, qu'ils m'en voulaient de ne pas être comme Clov, de leur avoir enlevé ce fils si parfait, si sage, poli et docile. Je m'étais trompée, jamais ils n'eurent le choix. Croyants, pieux ils subirent le courroux de leur foi, terrifiés à l'idée d'une punition sainte s'ils abandonnaient l'enfant d'une autre déposé à la porte de chez eux. Je secoue la tête, je fais un pas vers eux. L'énorme boule de poils se redresse et me grogne dessus. Les cris de ma mère s'éveillent alors, lentement avec une violence infinie le corps de l'animal, ses petits cris de supplications résonnent comme une mélodie douce à mes oreilles. Ses os se brisent les uns après les autres, son pelage se noircit, s'assèche pour finalement s'envoler quelques secondes plus tard. Elle se tient la tête, le visage tâchée de larme, quand à lui, lui pauvre lâche il la sert fort, fort comme s'il avait peur, parce que oui, il a peur. Dégage, casse toi! il crache ses insultes comme une prière. Je m'avance, ne dors que d'un oeil, je reviendrai pour toi Zwald.

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Assise dans le creux de ce fauteuil, . Regard las, je scrute l'horizon avec nonchalance par la baie vitrée. Le calme et la volupté, le silence et le murmure incessant de l'eau glisse sur moi comme une caresse printanière. Profonde bouffée d'air qui détruit à petit feu mes poumons. Je m'enfonce dans le cuir froid pour finalement faire volte face au bureau de verre de translucide, propre qui maintenant est à moi. J'ai bâti cet empire colossale en me promettant l'excellence. Marque d'égocentrisme, surement la seule, et pas la dernière. Mes mains passent sur la surface lisse et pâle du meuble imposant. Soupire, béatitude. Me levant, mollement je passe comme un ombre entre les murs, les portes et les entrailles de ce lieu propice à une débauche déroutante.

Rendez-vous à l'aube ce matin, le premier jour d'une reste d'une vie bien remplit m'attend, je le sais. Elle m'attendait de pied ferme, dans son univers de privilégiés qui jamais ne m'a fait baver d'envie. La luxure est un pêché que j'admire chez les autres. Désormais de patronyme différent, j'observe les méfaits dévastateurs du pouvoir sur l'esprit torturé de cette femme qui me ressemble tant et qui pourtant me surpasse. Si vous ne pouvez pas être avec elle, vous ne pourrez pas être contre elle, c'est évident. Sœurs de sang, maudites et pourtant si belles dans le reflets des yeux d'un peuple qui la hait, nous leur faisons face. Peut importe l'ordure qui nous a engendré, le monstre qui nous a donné ces gènes impitoyables qui régissent dans le creux nos entrailles, peut importe qu'il eut désiré puissance et gloire, peut importe qu'il n'est écrit des mots sur une feuille que pour assouvir une soif intarissable de pouvoir. Je garde avec détermination ce sentiment au fond de moi; rien n'arrive au hasard. C'est écrit.

" L'erreur est humaine et la mienne fut bien grande, il est encore temps de remédier à cette dernière. Vous avez en votre possession un enfant d'une lignée supérieure, vous êtes sommés d'en prendre soin et quand son éducation sera faîte, que ses os, son corps et son esprit seront assez matures pour diriger vous devrez, rendre à Sudri ce qui lui appartient.

Cet enfant est le mien, instant de folie avec une Sudrienne de passage je ne pouvais essuyer un scandale au vue d'un statut avancé et de divers engagements politiques. Une rente sera versée mensuellement afin de subvenir aux besoins de votre famille et de ma progéniture par conséquent. Ne soyez jamais surpris de sa tendance pour les ténèbres, qu'importe qu'il soit choisit par Maho, qu'il soit choisit par Alis, il est voué à de grandes choses.

Freyr M., Baron de Biljana
"

Il s'appelait Freyr Mattsen, il était le petit baron de Biljana et j'étais son enfant, sa fille. Il avait commit une seule erreur, celle de sous estimer mon potentiel. On pourrait croire que mon engagement serait en hommage à sa mémoire ou à l'attachement que je porte à son première enfant, à ma soeur, pourtant rien de tout cela n'entre en jeu. Jamais le pouvoir n'a été une fin en soit à mes yeux, et jamais il ne le sera, pourtant, servir mes propres intérêts, arriver à mener à bien les choses importantes qui incombent mon cœur de pierre, les rêves communs que je partageais avec les seules personnes que j'ai aimé, le cœur et la raison, Clov et Dawn. Vivre ou mourir, gouverner ou servir. Tout à prix, il faut juste en trouver la somme et surtout, en jauger la mesure.
 

wsh jsuis une machine
Si tu aimes le poulet, je t'aime.
Parfois, je suce des bites.
J'ai peur des pigeons.
J'ai peur des gens chauves.
Je mange tout le temps.
Je mériterai d'être grosse.
Je sais que me regard de braise, te rend merguez.

que tout ceux qui aime le pouley fassent la vibe par Zavialov. 45284010

j'men bas les couilles
Au début il y avait un V1 sur laquelle j'étais, puis un jour quatre petites bonnes femmes se sont dit qu'il était temps de remettre un coup de peinture sur les murs usés d'un forum dont elles avaient mis parcelles de leurs âmes pour la bâtir. Nouveau forum, nouveau contexte, nouveau personnage. Si Verdandi connait sa V2, Nög aussi. Toujours plus salope et méchante j'ai l'immense honneur et la très grande joie de vous annoncer pour mon plus grand plaisir qu'elle poussera le vice au maximum, si vous ne l'aimiez que peu, sachez que vous allez la détester. Concept bidon, bateau et déroutant de la pute sans gênes qui vous pisse dessus sans même essayer de vous faire croire qu'il pleut. Magique, fantastique, machiavélique.  Sinon vous l'aurez compris, pas du genre sociable pour un sou elle prône vengeance et délation. Qd à moi, personne derrière l'écran, j'men branle, et si jamais vous voulez être mes potes en mode wallah wallah, pas d'souci ça sera cool, un petit mp, wsh on verra si je réponds.
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Administratrice de l'ombre
Y. Iøta Járnsaxja
Administratrice de l'ombre
Y. Iøta Járnsaxja
Empress Bénédiction : Anima
Âge du personnage : 28
Profession : Ivoldur
Orientation sexuelle : Bisexuelle
Sam 2 Avr - 18:58
NOG LA MAGNIFIQUE. BIENVENUE PARMI NOUS CUISSE DE POULET.

Hésite pas si tu as besoin de conseil, d'aide, d'indications particulières ou encore de propagande pour faire ton choix de groupe -on est des gens comme ça nous. Je te croque hein, parce que le poulet > all. Bon courage pour la suite.

La bise !
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Administratrice - Reine de Sudri
H. Dawn Mattsen
Administratrice - Reine de Sudri
H. Dawn Mattsen
« Trop longtemps qu'j'me dégoûte, fallait bien qu't'en payes le prix » Bénédiction : Maho
Âge du personnage : 28 ans
Profession : Reine de Sudri
Sam 2 Avr - 20:53
KFCCCCCCCCCCCC MON AMOUR.
Bienvenue à la maison (viens chez les oranges stp, ça te rappellera de bons souvenirs j'te promets :aaa:)
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Admininistratice ▬ Aosí
W. Enya Rhosyn
Admininistratice ▬ Aosí
W. Enya Rhosyn
Feat. Red - Transistor Bénédiction : Cerys
Âge du personnage : Dans la vingtaine avancée
Profession : Propriétaire d'un cabaret dans lequel elle chante avec son band
Orientation sexuelle : Pansexuelle
Sam 2 Avr - 22:44
AMOUR SUR TOI NÖG TU M'AS MANQUÉE.

J'ai hâte de voir ce que tu nous prépares t'as pas idée allez je veux de toi et de tes personnages bien écrits. ♥♥

GROS D'AMOUR SUR TA FACE.
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Invité
Invité
Anonymous
Dim 3 Avr - 21:13
t'es pas belle ptn

:shex:

nan j'dec, avoue t'as cru.
j'adore la vulgarité, je veux un lien impossible mdr :zomg:
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Invité
Invité
Anonymous
Mer 6 Avr - 10:40

BOOM PREGNANT.
J'pense avoir fini le boulot, je ne garantie pas que le résultat sera au goût de tout le monde, mais j'prends le risque quand même. Je suis désolée d'avance pour tous les trucs à chier et blablabla. Sinon cimer à tous pour l'accueil, vous m'avez manqué pour les anciens et pr les nouveaux, c'cute. J'vous bise la fesse avec la langue.
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Invité
Invité
Anonymous
Mer 6 Avr - 11:17
Citation :
✕ Compte développer ses lieux de débauches un peu partout, histoire de faire le buzz et de peser dans le game.

:lmao:
allez c'est pour bientôt la couleur
bienvenue chez les Alisiens (oui nous allons créer une communauté rien que pour cette Esprit de) (de bonheur immense)
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Administratrice - Reine de Sudri
H. Dawn Mattsen
Administratrice - Reine de Sudri
H. Dawn Mattsen
« Trop longtemps qu'j'me dégoûte, fallait bien qu't'en payes le prix » Bénédiction : Maho
Âge du personnage : 28 ans
Profession : Reine de Sudri
Mer 6 Avr - 11:46
VALIDATION ♥



T'es un génie du mal.
Jtm.




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