| Dim 22 Mai - 22:36 | Ise Lucis Cesare Feat. Suzuya Juuzou - Tokyo Ghoul Informations générales Nom : Cesare Prénom : Ise Lucis Surnom : El Vicarius ; The Wildcard Âge : Vingt-et-une étoiles Orientation sexuelle : Hétérosexuelle Nation : Sudri Profession : Joujou de la Reine Bénédiction & Don : Tendaji - Décalage de l'espace-temps Explication : Tu es capable de créer des petites courbures qui viennent décaler le monde, de manière à ce que si un coup vient à être donné sur la joue d'un enfant, tu peux modifier l'espace entre l'enfant et son attaquant, afin que le coup passe à côté. Tu es, en soit, capable d'allonger l'espace entre les objets, ou au contraire les rapprocher. Caractère in a world of locked doors
the man with the key is king Tu n'es qu'un jouet en ce monde, quelqu'un qu'on a toujours manipulé facilement, pourtant, tu détestes les gens, mais tu ne peux t'empêcher de vouer un certain culte à certains. Tu as vécu toute ta misérable vie comme un chien, enchaîné à tes sentiments dont on se servait pour te taper dessus, à moins que ce ne soit à l'aide d'objets plus réels. Enfant, tu perdis tes parents et fût élevé par des inconnus qui te punissaient injustement, sans doute à cette époque que tu commençais à ressentir un goût prononcé pour le sang. My friend, the fates are cruel There are no dreams, no honour remains Après avoir vécu toute ton enfance de cette manière, tu t'y étais assimilé et tu commençais à apprécier la douleur que te procuraient ces monstres. C'est sans doute à ce moment que tu commençais à coudre ta peau à l'aide de ce fil rouge que tu gardais de ta mère, ta peau que tu ornais de motifs étranges. Beaucoup serait tenté de dire que c'est la folie qui t'habite, que tu as désormais complètement perdu la raison, mais tu ne t'étais jamais senti aussi vivant depuis la mort de tes parents. Tu commençais à être heureux, comme s'ils étaient toujours vivants, à tes côtés, de cette manière, jusqu'à ce qu'on te batte à nouveau. Un ras-le-bol, c'est sans doute ça, la goûte qui fit déborder le vase, qui te fit prendre conscience que les humains sont fragiles et qu'il est très simple de leur ôter la vie. The arrow has left the bow of the goddess My soul, corrupted by vengeance Hath endured torment, to find the end of the journey Malgré tout, même après avoir erré seul toutes ces années, reclus dans les coins sombres de Sudri, tu as toujours gardé cette joie de vivre, cet engouement quant à découvrir de nouvelles choses, cette humeur très joueuse qui t'anime et avec laquelle tu te démarques des autres. Tu es très immature, mais tu ne t'en rends pas compte, car personne ne te fait de remarques. Ceux qui te déplaisent, tu les tues, par simple principe, parce qu'ils ne méritent pas la vie selon toi. Tu les hais ces Hommes, mais tu les trouves amusants, alors tu gardes ton côté social, ce bon côté de ta personne, lorsque ta soif de sang ne se manifeste pas. In my own salvation And your eternal slumber Tu es fou, ton esprit est perverti par les méfaits et plus rien ne t'étonne. On pourrait te demander n'importe quoi, tu n'y verrais aucun mal. Tu es, finalement, l'innocence à l'état pur : rien, selon toi, n'inspire la malhonnêteté, la méchanceté, ou la criminalité tout simplement. Tu es naïf comme jamais personne ne l'a été avant toi. Legend shall speak Of sacrifice at world's end. Mais depuis maintenant quelques temps, tu es encore bien plus heureux que tu ne l'as jamais été, depuis que celle que tu considères désormais comme ta grande sœur t'a recueilli, depuis que cette femme se sert de toi pour assouvir de plus en plus son royaume. C'est sa couronne, tu le sais, elle l'a déjà, elle régit sur Sudri, imposant sa dure loi que tu trouves des plus enivrantes. Elle est tout ce que tu aimes, tout ce que tu admires, tu ferais tout pour cette femme, celle qui ne t'accueillerait sans doute même pas à sa table. Sudri n'est qu'un bout de terre, ce que tu souhaites lui offrir, c'est Midgard. Histoire you should see me in a crown honey Tu as atteint un âge de réflexion, un âge où tu te demandes beaucoup de choses, notamment vis à vis de ton passé. Mais ton problème est bien là, tu n'as aucuns souvenirs de ton passé, d'avant la mort de tes parents. Même ensuite, ça reste très vague dans ta tête et seuls ces flashback dans ton esprit, qui te reviennent comme des cauchemars, te laissent entrevoir un passé douteux de ta vie. Est-ce bien là ta vie ? Est-ce bien toi qui l'a vécu ? Qui d'autre sinon.. Tu es l'acteur de tous tes massacres, de chaque vie que tu as pris, de chaque couteau que tu as planté. Tu es jeune, mais tu as déjà accompli tellement plus que le commun des mortels. When the war of the beasts brings about the world's end The goddess descends from the sky Tu étais orphelin depuis peu, pour des raisons obscures dont tu ne te souviens même plus. Tu fus recueillis par des inconnus, des gens de bonne famille, un homme et une femme. Eux aussi semblaient tristes, prétextant que chacun des orphelins, qu'ils avaient sauvé, s'était ensuite enfui, malgré tout l'amour qu'ils leur apportaient. Oui, ce n'était qu'un prétexte, ou plutôt une fausse vérité. Tu ne le savais pas à ce moment-là, mais ces gens-ci étaient de vrais psychopathes. Lorsque l'on te connait désormais, on peut se dire que c'était une vraie chance de tomber sur ces gens, comme si tu y avais été destiné, afin de t'initier aux péchés les plus exquis. Ils te torturèrent, incisant ton pauvre torse alors que tu étais encore conscient, tripotant ces plaies ouvertes à l'aide d'objets tranchants, et bien d'autres choses. Tu n'étais qu'un enfant, mais ils n'en avaient que faire : tu savais déjà comment tu allais finir, puisque ton corps jonchait celui de leur dernier jouet. C'était l'année de tes douze ans, l'année où tu as reçu ta marque, celle de Tendaji. Tu ne te souviens plus réellement comment, mais en regardant les liens qu'entouraient tes poignets, l'espace entre ceux-ci grossit alors, et tu pus en retirer ta main. Tu ne sais plus non plus pourquoi, mais tu semblais attiser une certaine soif de sang, de jours en jours, que tu avais fini par étanché avec la mort violente de ces deux pauvres fous. Infinite in mystery is the gift of the goddess We seek it thus, and take it to the sky Tu errais dans les méandres de la capitale, souriant, comme si c'était le plus beau jour de ta vie. A ce moment là, tu avais retrouvé ce vieux fil rouge que ta mère gardait souvent avec elle, comme un porte-bonheur. Tu avais recousu tes plaies à l'aide de ce fil, profitant également du manque de douleur, sans doute à cause de l'adrénaline qui parcourait encore ton corps, pour t'orner de motifs étranges sur ton visage et tes bras. Tu adorais profiter de ton propre corps comme d'un tableau, où tu pouvais coudre et recoudre encore, comme si le tableau était magique et où tu serais capable d'effacer chacune de tes erreurs. Tu repensais à ce que tu avais fais, et tu en voulais encore. Tu découvrais également ce nouveau pouvoir, et comment le maîtriser un peu plus. Tu compris vite comment assouvir ta faim, en volant la nourriture à l'aide de ce pouvoir, en t'introduisant chez les gens. Ta dextérité et ton agilité se décuplait au fil de tes aventures, et on te proposa même de tuer pour de l'argent : c'est à ce moment-ci que tu étais connu comme The Wildcard. Ripples form on the water's surface The wandering soul knows no rest Avant chaque meurtre que tu t’apprêtais à engendrer, tu adorais user de ton pouvoir sur les passants. Chaque personne te regardant de travers, tu la faisais tomber en rapprochant leurs pieds l'un de l'autre. Ils t'affublèrent du surnom Le Vicaire. Tu leur faisais peur, et tu en mourrais de rire, tellement que tu trouvais ça plaisant. Tu les hais, ces moutons, mais toi, tu es un chien, tu es celui que toute la ville manipule, sans que tu ne t'en rendes compte. Tu n'as jamais aimé personne, jusqu'à ce jour où ton regard croisa celui de cette femme. Ta joie de vivre s'envola en un instant, remplacé par l'admiration, comme si tu étais épris d'un amour fraternel pour une personne que tu ne connaissais même pas, mais tu pouvais lire dans ses yeux, lire la folie qui l'habitait, cette folie qui était bien trop semblable à la tienne. There is no hate, only joy For you are beloved by the goddess C'était ta première erreur en tant qu'assassin, la seule et unique depuis que tu avais débuté ce travail. Elle était devant toi, alors que tu pensais la rue déserte à cette heure tardive, alors que ton couteau continuait de lacérer le cœur de ce noble. Elle ne disait pas un mot, toi non plus. Tu lâchas le cadavre au beau milieu de la rue, comme un message, t'échappant, le cerveau encore chamboulé par son regard. Cette femme, tu la rencontras à nouveau, alors qu'elle venait de prendre possession de la couronne. Tu n'eus rien besoin de dire, elle te donna l'ordre de crier à tout va qu'elle était la seule vraie reine, que son règne serait bien plus beau que celui de son prédécesseur. Elle n'avait besoin de te citer ce que tu devais dire, tu le savais déjà, car tu admirais déjà cette personne, sans aucune raison. Tu rendais alors visite à chaque noble dont le nom t'avait été donné, puis tu énonçais la suprématie de Dawn, la nouvelle Reine de Sudri, et tu tuais chaque personne mécontente de cette prise de pouvoir, chaque personne dont la tête ne te revenait pas. Tu les hais, ces moutons. Hero of the dawn, Healer of worlds Dreams of the morrow hath the shattered soul Sudri vivait désormais dans un climat de terreur. Toi, tu n'étais désormais plus un chien des rues, mais bien le chien de la Reine. Tu lui obéissais au doigt et à l’œil, sans qu'elle n'ait besoin de t'attacher ou de te faire peur. Tu l'admirais comme tu n'avais jamais admiré personne, et tu tuais pour elle lorsque son assassin était ailleurs. Cela fait trois ans qu'elle porte la couronne et que tu l'accompagnes, tu ne la considères pas comme une maîtresse, mais comme une sœur. Tu ne la considères plus comme une Reine, tu la considères comme LA Reine. Pride is lost Wings stripped away, THE END IS NIGH. Particularités ✕ Tout le monde pense que tu es en fait capable d'ordonner des actions aux fantômes et sont, par conséquent, effrayés par tes capacités. ✕ Tu n'as d'yeux que pour la Reine. Aveuglément, tu penses qu'elle est la seule et unique personne digne de diriger Midgard, obéissant donc à tout ses ordres, sans exceptions. ✕ Lorsque l'on te demande comment tu vois l'être qui t'as recueilli, tu aimes quant à la qualifier d'anémone, les plus belles fleurs à tes yeux, dont on dit qu'elles sont nées d'une divine larme et du sang d'innocents. Oui, tu as toujours adoré les fleurs. Et toi, bibi, tu nous viens d'où comme ça? Tu n'es que le joujou de sa Reine, un bouffon parmi les hommes, un enfant martelé par son passé, une marionnette de Sudri, un chien se satisfaisant des déchets de son maître. Tu n'es rien, tu n'es personne, et personne ne te regrettera. Tu ne changeras jamais le monde, tu n'es qu'une sale bête errante que les gens n'osent approcher, tu es le pauvre fou que vient prendre la Reine. Échec et mat. |
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